Sepidah, une membre d’OA d’Iran, a commencé le programme en se sentant physiquement, mentalement et spirituellement en faillite. « J’avais du mal à supporter le poids de mon âme », dit-elle. Grâce à OA et à la pratique des Douze Étapes, elle a cependant trouvé une solution viable. « Je suis calme », dit-elle. « Je dors plus paisiblement… et j’ai un meilleur équilibre dans la pratique des Étapes. »
Même après une opération chirurgicale pour perdre du poids, Kaveh, de Téhéran, en Iran, a découvert qu’il ne pouvait pas surmonter les sentiments d’inadéquation qui l’avaient conduit à trop manger. Il a essayé des livres et une thérapie, mais a finalement trouvé une guérison émotionnelle dans l’OA. En appliquant les douze étapes, Kaveh a appris à « guérir le mangeur excessif non seulement physiquement mais aussi émotionnellement et spirituellement ».
« Je peux dire sans l’ombre d’un doute que l’OA m’a complètement sauvé la vie », déclare Renee D. de Californie, États-Unis. « J’ai hâte de voir ce que les 900 prochains jours me réservent. »
« Ce que j’aime le plus, c’est de me connecter avec une autre personne, à quelque niveau que ce soit », déclare Elizabeth, du Missouri, aux États-Unis. Mais même après avoir perdu 120 kg, ses défauts de caractère l’ont maintenue isolée émotionnellement. Découvrez comment elle a réussi à travailler dans le cadre du programme OA.
Malgré deux rechutes, Christine a constaté que la vie dans le programme OA est infiniment meilleure que la vie avant l’OA. « L’abstinence est la chose la plus importante dans ma vie », dit-elle.
À quoi ressemble le fait d'être un mangeur compulsif ? La réponse est que cela dépend, mais ce que Meg B. de Californie sait avec certitude, c'est qu'être un mangeur compulsif en voie de guérison signifie devenir un être humain gracieux et honorable.
« Je suis la première à admettre que j’ai toujours eu un penchant pour le contrôle », déclare Beth. « En suivant les Douze Étapes, j’ai appris à me débarrasser de mes pensées sur la façon dont quelqu’un aurait dû agir ou sur la façon dont les choses auraient dû se passer. »
« En arrivant au programme, je ne me rendais même pas compte à quel point j’étais isolé », explique Jesse. « J’ai rapidement commencé à voir une lueur chez les autres et en moi-même : l’éclat du rétablissement. »
« J’ai essayé des millions de fois d’avoir une relation saine et raisonnable avec la nourriture et j’ai échoué lamentablement à chaque fois », explique Trish. Après neuf mois dans le programme OA, elle peut maintenant dire : « J’aime ma vie. »
« Finies les crises de boulimie suivies d'un désespoir total pendant des jours », écrit Julian, qui a quitté OA après avoir senti qu'il ne faisait pas de progrès, pour ensuite réaliser à quel point il avait besoin de notre programme.